Jeudi 24 juillet 2008

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Après presque 8 mois, je t'ai vu aujourd'hui... L'intuition m'avait poussée à aller à Figeac me promener. Il y avait la foire. Je te cherchais dans la foule, me préoccupant plus des personnes que des marchandises. Et je t'ai vu, de loin. Mon coeur ta reconnu de suite, la dame à côté de toi à contenter ma raison, c'était ta maman. Alors mon coeur s'est emballé, mes jambes se sont demandés combien pesait le reste du corps à porter, mes idées ont fait "bang". J'ai hésité un moment, la trouille, le trac. Je suis revenu sur mes pas, pour te croiser à un moment propice. Mais tu n'es pas venue vers moi, tu as pris une autre direction, et je t'ai perdue. Il m'était impossible de te courir après... Je me suis maudit de ne pas avoir saisi l'occasion quand elle s'est présentée. Maintenant c'est la frustration et l'angoisse.

Je sais que tu es là... que je peux te voir... C'est autre chose que de te savoir en Irlande ou à l'autre bout du monde.

D'ailleurs, tu es venue à 2 reprises sur FacebookFacebook... J'ai essayé de te parler par la messagerie, mais tu n'as pas répondu. N'as tu pas voulu ou n'as tu pas pu ? Comment savoir...

Dois-je te dire que je t'ai vue ? Car je sais que toi, tu ne m'as pas vu. Que je suis ici ? Que j'aimerais te voir ? Hélas, je n'ai pas le sentiment que cela t'intéresse...

Et je dois partir ce samedi, fêter les 60 ans de mariage de mes grands-parents... Est-ce une autre occasion de gâchée ?